Le ralentissement du pouvoir d’achat et la hausse du taux de chômage ne suffisent pas à expliquer la faiblesse de la consommation des ménages depuis le début de la crise. Au-delà des autres causes traditionnelles possibles (détérioration de la confiance des consommateurs, effets de composition du revenu disponible,…), les ménages pourraient avoir modifié leurs perspectives de revenu permanent.
Mis à jour le : 04/05/2017 17:57